Marre de vos parents ? 4 phrases que vous pourriez regretter d’avoir prononcées

No thumbnail
Publié le 03/03/2016 par TRD_import_LaurenMezière ,
"On ne choisit pas ses parents, on ne choisit pas sa famille..." : ces sages paroles vous poursuivent jour après jour tant vos parents vous mènent la vie dure ? Patience et prudence. Vos parents sont ce qu'ils sont, mais ne méritent pas forcément votre rage d'ado, non ?

1. « Je suis assez grand(e) pour prendre mes propres décisions »

Vous avez beau avoir le sentiment d’être le roi du monde du haut de vos 16 ans ¾, croyez-le ou non, toutes les décisions ne sont pas bonnes à prendre à votre âge. Vous pensez être suffisamment responsable pour passer votre nuit dans une soirée peuplée d’inconnus ou pour partir en vacances seul avec votre meilleur pote ? Le job de vos parents est de débusquer les périls – tout ce qu’il y a de plus réels – qui vous attendent au coin de la rue. Vouloir défier leur autorité est parfaitement naturel, mais vous pourriez regretter amèrement de ne pas leur avoir laissé la main : si vous voulez que vos parents vous fassent confiance, apprenez à faire de même à leur égard.

*

*

2. « Plutôt mourir que de devenir comme vous »

Leur petite vie plan-plan et leurs boulots sans intérêt vous agacent, vous ne comprenez ni leurs goûts ni leurs intérêts : bref, vous avez franchement le sentiment d’être un extraterrestre débarqué par hasard dans la famille Ingalls. Méfiance ! D’ici quelques années, quand vous aurez fait irruption sur le marché du travail et que vous ferez face à toutes les difficultés et petits tracas que vos parents doivent affronter au quotidien, vous vous reprocherez la cruauté de ce petit commentaire cinglant. Et regretterez peut-être de ne pas avoir prêté un peu plus d’attention à leurs conseils.

3. « C’est nul, tout est nul, VOUS êtes nuls »

L’adolescence marque une période de remise en cause permanente, non seulement de soi, mais aussi de tout ce qui nous entoure. L’environnement que vous jugiez idyllique il y a encore quelques années vous paraît désormais insupportable, étriqué, rébarbatif. Normal. Sauf que vos parents n’ont pas forcément envie d’être dénigrés à tout bout de champ ou de voir leurs vacances systématiquement gâchées par le grognon de service. Ce que vous vivez avec vos parents ne vous paraît peut-être pas essentiel aujourd’hui, mais il arrivera un jour où vous vous remémorerez tous ces instants avec un petit pincement au cœur : à l’idée, par exemple, de ne pas avoir vécu pleinement un moment pourtant pas désagréable de votre vie en famille.

4. « J’ai honte de vous »

Que vous le disiez clairement ou que vous le leur fassiez sentir, c’est pareil. Vous avez peut-être la haine à l’idée que vos parents ne soient pas aussi riches que ceux de vos amis, ou vous avez tout simplement décrété que vous ne deviez plus être vu en leur compagnie pour sauvegarder votre réputation. Soit. Sauf que, en ouvrant un peu les yeux, vous pourrez vous rendre compte de toutes ces choses formidables que font vos parents sans forcément attendre de médaille de votre part. Ce n’est pas parce qu’on ne choisit pas ses parents qu’on doit tout leur faire payer. D’autant qu’ils ont eu la délicatesse de ne jamais rouvrir le dossier de vos caprices nocturnes entre 2 et 5 ans, sans parler des pipis au lit, des gastros explosives et de toutes ces joyeusetés qui, elles aussi, pourraient sérieusement écorner votre renommée de lycéen ultra-cool.