Vous craquez sur votre coloc’ : c’est bien ou ça craint ?

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Publié le 19/11/2015 par TRD_import_LaurenMezière , Mis à jour le 02/10/2023 par TRD_import_LaurenMezière
Ç a n'aurait jamais du arriver, et pourtant... penser a votre coloc' vous donne des papillons dans le ventre, les mains moites et votre coeur s'emballe. Bref, vous voila amoureux, et dans de beaux draps, par la meme occasion ! Tout lui avouer, faire comme si de rien n'etait, demenager… On fait quoi, du coup ?

Quand vous avez choisi d’emménager ensemble, le deal était simple : salon et cuisine en commun, chambres séparées, chacun son espace ! Le loyer divisé par deux, vous pouviez profiter d’un appart’ beaucoup plus grand que la traditionnelle chambre de bonne. Et, au début, vous n’aviez vraiment pas de quoi vous plaindre. Vous pensiez même avoir réussi à dénicher le (la) coloc’ idéal(e) : discret(e), responsable, sympa, une perle ! À tel point que, depuis quelque temps, votre regard sur votre coloc’ semble avoir changé. A-t-il(elle) vraiment toujours été aussi mignon(ne) ? Aviez-vous noté ses talents de musicien(ne), son humour ? Il faut croire que tout cela vous avait échappé. Pas pour longtemps hélas, car votre colocataire occupe désormais toutes vos pensées !

#1. Prenez le temps d’interroger vos sentiments

Cette nouvelle obsession pour la personne qui partage votre appartement, c’est quoi au juste ? Avouez qu’il serait dommage de ruiner cette amitié toute neuve (et une bonne occasion d’économiser sur le loyer) pour une simple amourette. Laissez passer un peu de temps et voyez comment vos sentiments évoluent. Vous louchez sur d’autres camarades de fac, tout aussi charmant(e)s ? Votre coloc’ n’est peut-être (sans doute) pas l’homme (ou la femme) de vos rêves !

#2. Tentez votre chance (on ne sait jamais)

Amoureux(se) pour de bon ? Alors vous avez deux possibilités en lui avouant vos sentiments. Soit votre coloc’ les partage, et nous vous souhaitons donc tous nos vœux de bonheur, soit il (elle) ne les partage pas, et au moins, vous serez fixé(e). Et si, en plus, votre colocataire se moque de vous (ce qui a peu de chance d’arriver), vous saurez en tout cas qu’il (elle) n’en valait pas la peine.

#3. Reconstruisez vos relations sur de nouvelles bases

Vous avez sauté le pas, mais votre coloc’ n’a pas eu la réaction escomptée. Qu’il (elle) hésite encore ou qu’il (elle) soit décidé(e) à ne pas se mettre en couple avec vous, il (elle) souhaite cependant poursuivre votre cohabitation. Ce n’est pas forcément une mauvaise idée, à condition que vous appreniez à vous préserver. Maintenant que votre coloc’ sait ce que vous ressentez pour lui (elle), il (elle) doit vous respecter et éviter de vous faire souffrir inutilement, en ramenant par exemple ses conquêtes d’un soir sous votre toit. Soyez ferme : vous avez besoin de temps pour vous remettre de cette déception. C’est à prendre ou à laisser !

#4. Préparez-vous au changement

Si la situation s’avère trop difficile à vivre pour vous comme pour votre coloc’, alors il est peut-être temps d’y mettre fin. Discutez ensemble d’une manière de terminer votre cohabitation sans rancœur, et passez à autre chose : vous aurez plus de chance la prochaine fois.

#5. Vivre en couple avec son (sa) coloc’, c’est possible ?

Si par bonheur, votre coloc’ partage vos sentiments, une nouvelle étape un peu délicate à passer s’annonce : allez-vous continuer à vivre ensemble comme par le passé, tout en vous fréquentant ? Vous pouvez tenter votre chance, mais l’expérience n’est pas sans risque ; attendez-vous à devoir sans doute faire un choix entre votre coloc’ préféré(e) et le garçon (ou la fille) que vous aimez. Une fois de plus, c’est en communiquant que vous avez le plus de chances de régler la situation.