Love & Sexo : Comment se débarrasser de la pression des textos

Alalala les histoires de love qu’est-ce que c’est compliqué ! Rien ne sert de mentir, on a tous galéré et on galère encore. Que ce soit des relations sérieuses ou plus légères, c’est difficile de vraiment comprendre son ou sa crush… Et, soyons honnêtes, les textos et les réseaux sociaux ne nous aident pas ! Non mais sérieux, quelle histoire ces messages… Quand il y en a trop on se sent oppressé(e), enfermé(e), étouffé(e) et quand il n’y en a pas assez, on se sent délaissé(e), mal aimé(e), abandonné(e)… Que faire ?! Eh bien pour t’aider à te débarrasser de la pression des textos, on t’a trouvé plusieurs solutions juste en dessous.

Comprendre

Dans un premier temps il est important que tu gardes à l’esprit que ton/ta crush n’est pas comme toi… Ce n’est pas parce que tu accordes de l’importance aux messages, que c’est le cas de tout le monde. Il y a des gens qui sont textos et d’autres non. Plus vite tu comprendras ça, mieux tu vivras tes relations ! Le fait de ne pas beaucoup écrire ne veut pas dire : manque d’intérêt ou de sentiment mais c’est tout simplement secondaire pour certain(e)s. Et à l’inverse, BEAUCOUP écrire peut s’expliquer par une peur de l’oublie, une preuve d’affection, ou peut-être aussi une habitude que ton/ta crush a prise dans ses anciennes relations. Ce n’est pas pour autant que tu dois te sentir étouffé(e), il faut juste que tu comprennes que pour lui/elle, les messages c’est important.

Profiter

Les moments partagés sont les plus importants ! On a tendance à l’oublier mais c’est la vraie vie qui compte le plus, pas le reste. C’est sur ces moments-là que tu dois te baser. Sur ces moments où vous rigolez, partagez, échangez et non pas si il/elle t’a écrit direct en partant de chez toi ! Tu crois qu’ils s’écrivaient tes grandes-parents à la fin d’un date ?! Eh bien non, et pourtant leur histoire n’a pas été moins belle.

Désactiver

C’est LE piège, LA plus grosse erreur à ne pas faire : activer/regarder les heures de connexion. Désolé de te le dire mais : quand on cherche on trouve ! Ce n’est pas parce que pipou t’a laissé en vu ou qu’il/elle s’est connecté(e) sans te répondre que tu ne l’intéresse plus ! C’est peut-être tout simplement qu’il/elle est occupé.e et qu’il/elle te répondra plus tard. C’est possible aussi que ta moitié ait pensé qu’elle t’avait répondu alors que non : ça arrive souvent. Il faut surtout que tu gardes à l’esprit qu’en menant l’enquête, c’est toi que tu rends malheureux/malheureuse car on a tendance à sur-interpréter, sur-analyser… Il n’y a pas pire ennemi que d’être l’ennemi de soi-même ! Fais-toi confiance ! Si tu lui plais, il n’y a pas de raison pour que ça s’arrête du jour au lendemain.

S’occuper !

Quand tu commences à vriller et à péter un câble parce que ta moitié ne t’a pas répondu ou t’a lâché un vu : occupe-toi. Parle avec tes potes, sors t’aérer l’esprit, fais du shopping, regarde un film,une série bref, la vie continue tu sais ? Plus tu bloques là-dessus, plus tu seras triste solo dans ton coin, flemme un peu de se ronger le cerveau pour si peu…

S’écouter

Des fois on analyse tellement qu’on ne sait plus ce qui est bon ou pas, ce qu’il faut faire ou pas et pourtant, il faudrait tous que l’on suive nos pulsions/envies. Il n’y a pas de règle du « dernier message » ou « c’est au garçon de proposer » c’est fini ça ! Quand tu as envie d’écrire ou d’organiser un date : fais-le car tu risques de le regretter si tu n’agis pas… C’est très important de s’écouter. Combien sont passés à côté de belles histoires à cause de leur fierté ou de l’attente tout simplement. Ne remets pas ton destin entre les mains d’autrui : ECOUTE-TOI.

Parler

N’oublie pas que l’autre n’est pas dans ta tête, si vraiment les messages commencent à te poser problème parce que tu en reçois trop ou pas assez, parles-en à ton crush ou à ta moitié en face à face. Avec des mots simples et en expliquant ce que TOI tu ressens et pourquoi c’est important pour toi. De cette façon vous pourrez trouver un terrain d’entente et ça ne devrait plus poser problème à l’avenir.