Les applis d’Hugo, étudiant à l’ESIEA

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Publié le 27/01/2014 par TRD_import_PaulineCapmas-Delarue ,
UN ÉTUDIANT, SES APPLIS - Hugo, 22 ans, en 5e annee de l'ESIEA, une ecole d'ingenieurs, est plutot du genre tres connecte avec son smartphone, un Samsung Galaxy S3. Mais toujours dans un but pratique : pour sortir et garder le contact avec ses amis. Il echange entre 150 et 200 SMS par jour, et passe moins de 10 appels, qui durent en general moins d'une minute, pour demander a ses potes ou se retrouver, ou s'ils arrivent bientot.

Les applis indispensables à ma vie d’étudiant

Google Maps. Elle me sert à la fois de GPS en voiture et de carte lorsque je me déplace dans Paris. Mon smartphone, je l’utilise surtout pour m’occuper, dans les transports en commun par exemple, et pour communiquer aussi. Je l’utilise très peu lorsque je suis chez moi.

Les applis que j’ai vite retirées de mon smartphone

Tamago. C’est un œuf sur lequel on doit taper un million de fois. Pas vraiment intéressant…

Les applis recommandées par mes amis

Candy Crush. Tous mes potes m’en parlaient, j’ai donc fini par la télécharger. Mais je me suis arrêté au niveau 23, j’avais trop de retard sur les autres pour rattraper leur niveau.

Les applis qui facilitent mon quotidien

BeyondPod. C’est une application qui permet d’accéder à des podcasts gratuitement et de créer des playlists personnalisées. Je m’en sers tous les soirs pour écouter la radio avant de dormir. Et ma messagerie , pour lire mes mails.

Les applis “gaming” pour me détendre après les cours

Doodle Jump. Ce qui est bien, c’est que c’est rapide, on peut faire des petites parties lorsqu’on n’a pas trop le temps, ou bien se décider à y jouer plus longtemps si on le souhaite.

L’appli de mes rêves

Une appli qui servirait à voir toutes les places de parking disponibles dans Paris.

Jusqu’à combien je suis prêt à dépenser pour une appli

2 ou 3 €, si c’est pour soutenir un projet qui me plaît. Sinon j’ai tendance à les télécharger sans payer… Mon store ne fonctionne plus en ce moment, mais en temps normal, je m’y rends 2 ou 3 fois par semaine. Cet été j’y allais même quasiment tous les jours.