Le conseil sexy du lundi : Comment bien se masturber quand on est une femme ?

La masturbation reste encore aujourd’hui un sujet tabou, surtout chez les jeunes femmes. Et pourtant, il n’y a rien de plus normal. En réalité, beaucoup de jeunes femmes se masturbent, même si elles ne l’avouent pas toujours. S’adonner aux plaisirs solitaires est une expérience non seulement excitante, mais également très enrichissante, car cela te permet de mieux connaître ton corps et c’est la meilleure façon d’avoir une vie sexuelle épanouie.

Mais souvent, de nombreuses jeunes femmes n’osent pas passer à l’acte car elles ne savent pas forcément comment faire. Et c’est là que Trendy entre en jeu, avec un petit guide pour s’adonner aux joies de la masturbation féminine et être ainsi sûre d’apprécier le moment du début jusqu’à la fin.

Se mettre dans le mood

Pour profiter pleinement du moment, il faut avant tout être dans le bon état esprit. Et pour cela, il n’y a rien de tel que de s’aider de quelques stimulations. Pour certaines, une musique sexy et une lumière tamisée peuvent suffire à faire monter le désir. Pour d’autres, des stimulations visuelles, comme un film ou un livre érotique, seront nécessaires pour faire venir l’excitation. Mais une chose est sûre, l’orgasme sera d’autant plus facilement atteignable en étant dans le mood.

Expérimenter différents types de stimulation

Quand tu te masturbes, ne te concentre pas que sur un seul endroit. Il n’y a pas que le clitoris dans la vie, ou le vagin. N’hésite pas à stimuler les deux, en même temps ou en alternance. Et pour les plus audacieuses, il y a aussi l’anus. Quant à la façon de le faire, le mieux est encore de varier les mouvements et les rythmes. Multiplier les stimulations, c’est aussi multiplier le plaisir !

Ralentir juste avant l’orgasme pour le rendre encore meilleur

Atteindre l’orgasme, c’est bien, mais tout vient à point à qui sait attendre. Et surtout, tout vient à point beaucoup plus intensément. Alors, quand tu sentiras que tu n’es pas loin d’exploser de plaisir, arrête-toi quelques secondes, respire un grand coup et reprends tes affaires en douceur, jusqu’à être à nouveau au bord de l’orgasme, puis arrête-toi encore une fois avant de reprendre vraiment à fond. Et là, normalement, l’orgasme devrait être deux fois plus kiffant.

Se caresser partout

Tu as deux mains, alors autant t’en servir. Si l’autre est occupée avec le clitoris ou le vagin, utilise la deuxième pour te caresser un peu partout. Certaines parties du corps sont particulièrement érogènes et peuvent ainsi rendre les orgasmes beaucoup plus forts en se les touchant en même temps.

Prendre le temps

Assure-toi de disposer de suffisamment de temps pour te permettre de t’adonner au plaisir solitaire en toute tranquillité. Si tu ne disposes que de 5 minutes, il y a de fortes chances que tu sois trop stressé ou concentré sur le timing pour vraiment prendre ton pied. Se masturber doit être un moment à soi, calme et déconnecté de la réalité, pour lequel il faut prendre son temps. En effet, plus tu iras en douceur, plus le plaisir montera progressivement et plus tu prendras ton pied longtemps, plus l’orgasme ne sera que meilleur.

Utiliser du lubrifiant

Il est plus agréable et confortable de se masturber en étant assez lubrifiée. Si tu es assez excitée, la lubrification vaginale naturelle suffira, mais si ce n’est pas le cas, n’hésite pas à appliquer du lubrifiant sur ton index et ton majeur puis à masser doucement ton clitoris et ses contours, ainsi que les lèvres intérieures. L’excitation devrait ensuite venir toute seule.

Essayer un sex-toy

Se titiller le clitoris ou le vagin avec les doigts n’est pas la seule manière de se masturber. Si c’est un sujet encore assez tabou, beaucoup de femmes (25% des Françaises selon une étude de l’Ifop) n’hésitent pas à utiliser également des sextoys. Et elles ont bien raison. Entre les stimulateurs clitoridiens ou encore les vibromasseurs, il y a clairement de quoi prendre son pied. Certaines n’arrivent même à avoir des orgasmes qu’avec des sextoys. Cela ne fait pas de mal d’essayer, après tout, n’est-ce pas ?