Le conseil sexy du lundi : Comment bien guider son/sa partenaire au lit ?
Être un(e) véritable expert(e) du sexe, ce n’est pas quelque chose qui est inné. Le sexe, c’est comme tout, ça s’apprend. Surtout que chaque personne est différente. On n’a pas tous/toutes les mêmes envies, les mêmes zones érogènes. On n’aime pas tous les mêmes choses. Certain(e)s préfèrent quand c’est brutal et sauvage, d’autres quand c’est plus calme. C’est pour ça qu’il est important de communiquer avec son/sa partenaire pendant l’acte. Il/Elle n’est pas télépathe et ne peut pas deviner tout ce qui te fait kiffer ou non si tu ne l’aides pas. Et voici quelques conseils pour le/la guider doucement, mais sûrement.
Pour commencer, il y a plusieurs façons de guider ton/ta partenaire. Cela peut d’abord passer par des manifestations sonores de ton plaisir ou de ton déplaisir, comme des gémissements ou des grognements. Si ce n’est pas assez clair, tu peux également utiliser des manifestations physiques, comme une légère pression de ta main sur la sienne pour qu’il/elle la déplace un peu, un tortillement, un coup de hanche plus brutal pour lui faire comprendre que tu as envie que ce soit plus sauvage, etc. Tu peux aussi utiliser tes mains pour guider celles de ton/ta partenaire et les emmener là où tu veux qu’elles soient.
Un autre bon moyen de guider ton/ta partenaire est tout simplement de lui dicter à voix haute ce que tu aimerais qu’il/elle te fasse. Au choix : « Plus fort ! » ou « Plus doucement ! », « Plus à gauche », ou des choses beaucoup plus directes, comme : « Prends-moi dans cette position » ou « Agrippe-moi les seins bien fort ». Il ne faut surtout pas hésiter à demander ce que tu veux. Non seulement, c’est ton plaisir qui est en jeu, mais murmurer tes désirs à l’oreille de ton/ta partenaire peut aussi se révéler très excitant pour vous deux.
Il est plutôt facile de guider son/sa partenaire, à condition de le faire avec tact et positivité. Il y a en effet toujours un risque de le/la vexer car il/elle peut penser que tu le/la trouves nul/nulle. On évite donc à tout prix les remarques négatives et on privilégie les tournures positives. Par exemple, au lieu de dire : « Je n’aime pas quand tu fais ça », il vaut mieux plutôt proposer une autre idée, en disant : « Tu sais ce qui me ferait plaisir ? Que tu fasses ça ». Et surtout, n’oublie pas de le/la complimenter quand il/elle fait les choses bien.