Le conseil sexy du lundi : Ces tabous qu’il faut arrêter d’avoir sur le sexe

Le conseil sexy du lundi : 8 questions à se poser pour mieux se connaître sexuellement
Publié le 14/01/2019 par priscillabm ,
En matière de sexe, les tabous sont multiples. Rien que le sujet en lui-même est tabou. Mais nous sommes en 2019 et il est temps de les briser pour avoir une vie sexuelle plus épanouie !

Si de plus en plus de comptes Instagram, comme « T’as joui? » ou « Amours solitaires » ou encore « Merci Beaucul », s’attachent à briser les tabous en parlant de sexe ouvertement et en incitant tout le monde à libérer sa parole, la route risque d’être encore longue avant que chacun s’assume entièrement. Toi-même, tu as encore probablement des a priori. Mais si tu veux vraiment t’épanouir sexuellement, tu ne vas pas avoir le choix : il va falloir que tu brises certains tabous et pour commencer, voici une petite liste de ceux auxquels tu peux déjà dire bye-bye.

Les poils

Il arrive que certaines femmes s’empêchent d’avoir des rapports sexuels parce qu’elles ne sont pas bien épilées. Mais qui a le temps d’être parfaitement épilée à tous moments ? Entre les cours, le travail, le sport et les courses, trouver un moment pour se raser est compliqué. Mais ça ne devrait pas empêcher de s’éclater au lit pour autant. Qui plus est, c’est plus hygiénique d’avoir des poils au pubis, car cela protège le vagin des infections. Ajoutons à cela que la plupart des hommes s’en fichent et voilà qui devrait en motiver certaines à briser ce tabou.

Le sexe pendant les règles

Il faut s’y faire : une fois par mois, les règles débarquent et ça sera comme ça jusqu’à la ménopause. C’est un phénomène naturel qui touche toutes les femmes, alors pourquoi en avoir honte ? Il est temps de les accepter et de les assumer. Plus important encore, il faut arrêter de penser que faire l’amour pendant les règles est dégoûtant. C’est même le meilleur moment pour avoir des rapports sexuels. Selon une enquête de Medium, 55 % des femmes interrogées ont notamment confié qu’elles trouvaient le sexe pendant les règles « assez impressionnant » et « totalement naturel ».

Les coups d’un soir ou les sex friends

Être dans une relation stable, c’est bien, mais quand on est célibataire, on fait comment pour satisfaire ses envies sexuelles ? Il y a la masturbation, mais il n’y a pas le contact humain. La meilleure option reste donc encore le coup d’un soir, ou le sex friend. Mais ça, c’est encore mal vu et la personne en question peut vite être catégorisé en tant que « fille facile » ou « bourreau des cœurs », alors même qu’il/elle ne fait que s’enrichir sexuellement. Qu’on se le dise : ceux qui jugent ne méritent pas qu’on s’attarde sur eux et surtout, ils ne savent pas ce qu’ils perdent. Si tu as envie de t’éclater avec plusieurs partenaires dans le même mois, ou la même semaine, tu as entièrement raison et tu ne devrais surtout pas t’en priver !

L’absence d’orgasme

L’orgasme : beaucoup en parlent mais peu l’expérimentent vraiment, ou de façon très irrégulière. Et pourtant, ne pas avoir d’orgasme à chaque rapport sexuel reste un tabou et le sujet est guère abordé, alors même que c’est plutôt commun. En réalité, il est rare qu’une pénétration seule aboutisse à un orgasme féminin. C’est plutôt la stimulation du clitoris qui peut entraîner un orgasme. Alors, au lieu de faire semblant d’avoir joui pour ne pas froisser son/sa partenaire, il ne faut pas avoir peur d’en discuter avec lui/elle. Il existe très certainement des solutions pour que chacun prenne son pied.

La masturbation féminine

Les hommes n’ont aucun problème à se faire plaisir en solitaire et l’assument entièrement, alors pourquoi pas les femmes ? La masturbation féminine reste encore un sujet tabou, alors même qu’elle se pratique de plus en plus. Il n’y a pas de mal à se faire du bien, au contraire. Cela peut non seulement permettre d’apprendre à connaître son corps, mais aussi ses désirs et ses sensations, tout en permettant de prendre confiance en soi au lit.

Et ce ne sont là que quelques sujets tabous parmi tant d’autres. Entre la baisse de libido, les problèmes d’érection, l’éjaculation précoce, la sodomie ou encore la fellation, il y a encore du chemin à faire pour libérer totalement la parole autour du sexe.