Je cultive l’empathie avec les autres
Allez, cette fois, vous faites la paix avec vous-même et avec les autres. Vous réglez les conflits larvés. Vous acceptez que l’autre ne soit pas toujours « top ». Vous « l’accueillez » avec le sourire, même si vous ne pouvez pas vous empêcher d’avoir un peu de rancœur.
L’autre n’est pas un ennemi
Il s’agit d’écouter et d’être attentif à l’autre, à ce qu’il a à dire. Ne pas parler que de soi. Si l’autre sent qu’il est l’objet d’une attention, il sera plus détendu.
L’idéal est de désamorcer les désaccords en étant compréhensif. Pour cela, employez des mots gentils et si vous avez vraiment quelque chose à dire, dites « je » et non « tu… tu… tu… » en enchaînant les reproches.
Se mettre à la portée de l’autre, voire à sa place, c’est en grande partie combler le fossé qui nous sépare.
De toute façon, l’autre ne peut pas être comme nous, alors autant accepter sa différence. Ne plus avoir d’ennemis jurés, c’est tellement plus confortable !
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