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Elle pensait que c'était une piqûre d'orties, elle meurt quelques semaines plus tard

Elle pensait que c'était une piqûre d'orties, elle meurt quelques semaines plus tard
Elle pensait que c'était une piqûre d'orties, elle meurt quelques semaines plus tard © Unsplash
Par l'équipe Trendy, publié le 13 mai 2024
1 min

Âgée de 52 ans, Cecilia, une femme britannique, va un jour ressentir une étrange sensation de picotement au niveau de poignet.

En février dernier, Cecilia et sa famille fêtaient son 52ᵉ anniversaire en Écosse, comme l'explique The Sun. Randonnant dans le parc national des Trossachs, rien ne laissait présager le drame qui allait bouleverser leur vie. Quelques semaines plus tard, à la fin du mois de mars, elle se lance avec enthousiasme dans l'aménagement d'un potager dans son jardin. Un jour, après une journée de travail acharné, elle mentionne à son mari une étrange sensation de picotement dans son poignet gauche. Ils pensent initialement à une simple piqûre d'ortie ou d'épine. Malheureusement, les picotements ne disparaissent pas et remontent le bras de Cecilia. Incapables d'obtenir un rendez-vous en présentiel avec leur médecin généraliste, ils consultent par téléphone. On leur explique que les symptômes de Cecilia évoquent le syndrome du canal carpien, une affection courante touchant le poignet et la main. Rassurés, ils envisagent sereinement une séance de kinésithérapie. Cependant, lors de son rendez-vous du 12 avril, le kinésithérapeute note un affaiblissement important du bras gauche et une extension des sensations vers la jambe. Il oriente alors Cecilia en urgence vers un neurologue. Le 14 avril, Cecilia est incapable de sortir du lit. Les ambulanciers l'emmènent à l'hôpital où des scanners révèlent la présence d'une tumeur au cerveau nécessitant des examens plus approfondis.

Une tumeur au cerveau agressive et incurable

Deux semaines plus tard, à l'hôpital St George de Londres, le verdict tombe : Cecilia est atteinte d'une tumeur au cerveau agressive et incurable. Avec un traitement, son espérance de vie est de 12 à 18 mois. Le choc est brutal et incompréhensible. En six semaines seulement, Cecilia est passée d'une santé parfaite à une situation de dépendance totale. Malgré la maladie, la famille tente de profiter des moments ensemble. Balade en chien en scooter électrique, cinéma, préparation de pizzas en famille... Cecilia savoure ces instants simples devenus précieux. Le 9 mai, la veille de sa biopsie, elle fait ses adieux à ses enfants, ignorant qu'elle ne les reverra plus.

Il ne lui reste plus que quelques heures à vivre

Une hémorragie cérébrale foudroyante survient à l'hôpital. Le chirurgien explique à Mark, le mari de Cecilia, qu'il ne lui reste que quelques heures à vivre. La priorité est désormais d'assurer son confort. Les enfants sont appelés en urgence pour un dernier au revoir déchirant. Mark tient la main de Cecilia et lui murmure qu'elle peut partir, que la souffrance est finie. Il lui promet de s'occuper des enfants et de les élever selon ses valeurs. Le 11 mai au matin, Cecilia s'éteint paisiblement. Cette histoire tragique nous rappelle l'importance d'être à l'écoute de son corps. Consulte un médecin si tu ressens des symptômes inhabituels, même s'ils te semblent bénins. Un diagnostic précoce peut faire toute la différence.

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