ASEU – Le road trip aux USA jour après jour

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Publié le 16/03/2016 par bettybetzy ,
Dans le cadre de l'ASEU (année du sport de l'école à l'université), dont Nicolas Batum est le parrain, l'UNSS propose à six licenciés passionnés de basket de vivre à l'heure américaine du mardi 15 mars au dimanche 20 mars. Pendant cinq jours, 3 collégiennes et 3 collégiens, âgés de 12 à 14 ans, vont partager le quotidien de l'ailier de l'équipe de France. Une semaine américaine inoubliable pour ces passionnés de la balle orange qui vont vivre de l'intérieur le monde de la NBA dans le cadre d'un voyage éducatif où sport et études seront étroitement liés.

Jour 6 – French Week Batum, c’est la fin

Salut, moi c’est Florian. Je suis le dernier à venir raconter ma semaine magique à Charlotte. Ce matin j’ai pris un déjeuner typiquement américain avec du bacon, des pancakes accompagnés de sirop d’érable.

Le dernier jour avec Nicolas Batum // © Charles Kashema – UNSS

Après le petit déjeuner, nous sommes allés nous balader une dernière fois dans le centre-ville de Charlotte, mais il ne faisait pas très beau ce matin-là. En début d’après-midi, Nicolas Batum est venu nous dire au revoir et nous a signé des autographes, beaucoup d’autographes et nous avons passé un agréable moment à parler avec lui une dernière fois. Nous avons appris pas mal de choses sur son parcours à Fort Boyard. Après, nous nous sommes dirigés vers l’aéroport. De fortes turbulences nous ont accompagnés durant une partie du voyage, on a mangé dans l’avion (diner et le petit déjeuner). Puis, nous sommes arrivés le matin à Munich après 10h30 de vol. Arrivés en Allemagne, on a tous eu peur car on a entendu parler d’une grève des contrôleurs aériens à Roissy ! Mais au final, on n’a pas été retardés. Sinon, le responsable UNSS m’a posé des questions, donc je vais y répondre.

A part Nicolas Batum, quel joueur t’a le plus impressionné ? Al Jefferson (pivot de Charlotte et pesant aisément 130kg) est le joueur qui m’a le plus impressionné.

Comment était la ville de Charlotte ? C’est une ville très grande, elle est différente de nos villes en France.

As-tu aimé la nourriture américaine ? Oui, surtout les burgers du Five Guys.

On dit que l’ambiance dans les salles américaines est incroyable, est-ce vrai ? Oui !

En tant que fan, as-tu été bien accueilli par les gens et le club ? Oui, ils étaient très aimables et compréhensifs envers nous, ils s’adaptaient à notre niveau d’anglais.

Si tu devais retenir 3 choses de ton voyage, qu’est-ce que cela serait ?

1. Les Américains ne font pas les choses à moitié, tout est grand !

2. Les matchs ne donnent pas la même vision que tu sois dans la salle ou que tu sois devant la télévision.

3. J’ai rencontré un grand joueur que je considère comme le meilleur français

Si demain, on te demandait de revenir, tu reviendrais ? Avec grand plaisir

As-tu acheté des choses ? Pour toi ? Ta famille ? Oui pour ma sœur, mon frère, mes parents et un ami. Bien sûr, je ne me suis pas oublié.

Une dernière question, le décalage horaire, ça va ? Non au début ça n’allait pas du tout. Je me suis presque endormi durant le match Hornets-Orlando !

Florian Garrido

Licencié UNSS

Jour 5 – French Week Batum à Charlotte : les derniers moments

L’avant-dernier jour de notre french week à Charlotte. Et on va encore assister et même participer à une expérience de fous. On va rencontrer la « Steph Curry » féminine et participer à un évènement avec elle.

Moi, c’est Sandra. Je vais vous raconter notre journée pour que vous vous rendiez compte de tout ce qu’on fait ici. On est trop chanceux, c’est extraordinaire. Comme tous les autres jours, on se lève vers 8/9h et on prend un déjeuner typique américain. En gros, c’est deux repas en un et si tu veux encore plus, ne t’inquiète pas, il suffit de demander… il y en a encore !

Salle d’entraînement des Hornets pour le camp de basket-ball // © Charles Kashema – UNSS

De là, direction la salle d’entraînement des Hornets pour le camp de basket-ball avec Maya Moore. Prenez 5 minutes, allez sur le web et regardez qui est Maya Moore. En plus d’être une athlète exceptionnelle, elle a gagné deux fois le « trophée » de meilleure étudiante des Etats-Unis, c’est juste incroyable : Une grosse tête dans un corps d’athlète.

Le camp était super, même si on a eu un peu de mal avec l’anglais. Mais on se bat et on regarde ce que font les autres. Il y a eu pleins d’ateliers et d’activités différentes avec un échauffement complètement hors norme, à l’américaine. Avant le petit défi shoot à la fin (Romane était en finale avec son équipe), on a fait une séance de course, c’était trop dur. Les petits américains (car le stage concernait aussi des enfants de 9 ans), ils couraient partout, on avait l’impression qu’ils n’étaient jamais fatigués. Pour terminer, il y a eu une séance de questions suivi d’un moment de remise de cadeaux et de photo avec Maya Moore. Mais nous avons eu droit à un peu plus car comme nous étions français et venions de la part de Nicolas On a eu droit un moment supplémentaire avec elle.

Rencontre avec Maya Moore // © Charles Kashema – UNSS

Par contre, le match de ce soir est à 18h, il faut que l’on rentre à l’hôtel et qu’on mange un petit truc avant le match. On a décidé de suivre les conseils de Nicolas, on va tester le « Five Guys », le célèbre fast-food préféré d’Obama. Au moins, on vient de Coursan mais on pourra dire qu’on a mangé dans ce restaurant avant tout le monde.

Ensuite, direction la salle pour le match des Hornets contre les Nuggets, Nicolas contre Jeoffrey et Axel. Mais avant de monter dans notre suite (et oui merci Nicolas), on fait du shooping à la boutique de Charlotte. Comme on vient de la part de Nicolas, on nous a fait une remise de 35% sur tous nos achats (allez promis, j’arrête de dire merci Nicolas). Encore une fois, la vue est magnifique depuis les loges, on a dansé, crié mais ils ont perdu, on est trop déçus pour lui. Malgré tout, il est venu nous rejoindre à la fin du match et on a eu droit de faire la sortie des joueurs. Comme à la télé, on est passé par le grand couloir et le parking. Et comme Kemba Walker était là, on a pris une petite photo avec le meneur de l’équipe. Je ne devrais pas le dire mais il n’est pas très très grand.

La dernière soirée, tous ensemble // © Charles Kashema – UNSS

On a senti Nicolas un peu abattu car même s’il a fait un grand match, il n’est jamais content quand son équipe perd.

Pour finir, nous sommes allés manger ensemble pour notre dernière soirée. Nicolas malgré la déception, nous a déjà prévenus qu’il viendrait nous voir avant que l’on parte. En fait, je suis sûr qu’on va lui manquer.

Allez je vais me coucher.

Sandra

Licenciée UNSS

Jour 4 – Entre les Panthers, Steph Curry et Nicolas Batum

Il ne faut jamais arrêter de rêver et aujourd’hui, on va encore vivre une journée particulière avec une cerise sur le gâteau pour la soirée. Nous sommes le quatrième jour de la French week et je m’appelle Romane.

La fine équipe // © Charles Kashema – UNSS

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Je joue au Basket au SOC de Coursan (un petit coucou à toutes mes coéquipières) et je vais raconter ma journée du vendredi 18 Mars. Tout d’abord le matin, nous avons marché en direction du Stade des Panthers et nous sommes passé devant le Ballpark (le stade de l’équipe de baseball). En rentrant dans ce stade, nous avons pu visiter les vestiaires, les loges, la salle de réception, etc. Il y a 56 restaurants et plus de 77 000 sièges dans cet endroit incroyable. Si je sais compter, il y a plus de restaurants qu’à Coursan et plus de 15 fois la population de notre ville.

Ensuite, nous sommes partis direction la Nicolas’ Batum House ! Il habite aux 50 ième étages de the « View », peut être le plus grand building de la ville, qui porte bien son nom. La vue extraordinaire s’offrait à nos yeux et nous surplombions toute la ville.

La jolie vue de chez Nicolas Batum // © Charles Kashema – UNSS

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Nicolas nous a rejoints et comme à son habitude, il a été super gentil. Il a dédicacé 10 photos pour chacune des filles de mon équipe. Mais comme toute bonne chose a une fin, nous sommes partis pour le laisser travailler avec France Télévisons.

Après avoir mangé, nous sommes allés à l’Université de Davidson, où nous attendait le coach universitaire de Steph Curry. Avant, on a été accueillis par la responsable de l’équipe filles qui nous a fait visiter tout le campus. Si je peux m’inscrire à Davidson, j’y vais en courant. Puis on eu droit à notre petit moment avec Bob Mc Killop’s et ses 42 années de carrière. Avec une carrière comme celle-ci, il doit avoir au moins 60 ans ce qui ne l’empêche pas d’avoir une pêche d’enfer. Au-delà du sport, les campus américains, c’est vraiment un autre monde.

Stade des Panthers // © Charles Kashema – UNSS

En fin d’après-midi, on a vécu une expérience unique avec Nicolas Batum. On a fait un « live chat » sur sa page facebook. En direct, il y avait plus de 15 000 personnes qui regardaient en direct, je n’en reviens toujours pas. Une des personnes qui travaille avec lui nous a dit qu’on allait avoir plus de 30 000 vues pour cette opération… un truc incroyable.

Mais comme nous sommes « potes » avec lui maintenant, il a décidé de finir la soirée avec nous, en nous invitant au restaurant. Même sa femme est venue, enceinte de 8 mois. Il est resté avec nous toute la soirée. Elle est très sympa et très belle. Franchement des fois, on rigole entre nous car quand on va le raconter, personne ne va nous croire. Ce n’est pas le serveur qui nous expliqué la carte mais Nicolas lui-même. Il m’a conseillé des « Ribs » et c’était délicieux

Voilà, encore une journée incroyable, une visite superbe, une expérience unique et un moment privilégié dans la vie de cet immense champion. Il est minuit, je vais aller me coucher car demain on va faire un stage de basket-ball avec la plus grande joueuse de basket ball du monde : Maya Moore.

Romane

Licencié UNSS

Jour 3 – Une journée sans Nicolas

Parti dans la nuit à Miami pour jouer un match très important dans la course aux play-offs, Nicolas n’était pas avec nous ce jeudi. Malgré tout, Katia, son agent, nous avait encore réservé de belles surprises avec des visites, des rencontres et une soirée chez Boris Diaw.

Sur le terrain // © Charles Kashema – UNSS

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Le levé

Le décalage horaire ne passe toujours pas mais on gère comme on peut. On ne veut surtout pas rester au lit. En ce qui concerne le petit déjeuner à l’hôtel, il se passe très bien. On a eu des pancakes à l’américaine.

Nos cadeaux

Comme si nous n’étions pas assez « gâtés », on a eu droit de la part de Nicolas et de la franchise (ici on dit Franchise, pas club) des Hornets, d’un petit paquet cadeau individuel : un tee-shirt, un maillot Batum, un sac, un carnet, etc. Bref, la grande classe et je pense que l’on va faire des jaloux en rentrant.

1ère Visite

On prend nos énormes voitures et direction une High School (un lycée en Français) pour une visite spéciale. En effet, si on est trop jeunes pour le connaitre, à priori, Keith Gatlin était un grand joueur de Pro A du temps d’Alain Digbeu, Moustapha Sonko à la fin des années 90. Il est désormais coach de la meilleure high school de l’état de Caroline du Nord : Wesleyan Trojans.

Le dej « American Style » // © Charles Kashema – UNSS

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Moment d’échanges et de travail

Cette visite était vraiment spéciale car on a tout fait : visiter l’école, assister à un cours, participer à un cours de français et après on a joué au basket ball avec Kwe Parker. L’école est incroyable, les installations sportives sont folles, la classe informatique est dingue (que des macs) et ils ont une salle spéciale pour la récupération, les massages et la musculation…

Mais ce qui était vraiment cool, c’était le cours de français et le jeu que l’on a fait avec les élèves américains : le ni oui, ni non. Je sais que certains rigolent mais en anglais, ça change beaucoup de choses.

On est aussi tous passés par le bureau du proviseur où on a eu droit à une belle photo avant d’aller manger à la cafétéria. Je pense qu’il ne faut pas trop parler du repas de midi car nous avons adoré (véritable limonade, cookie maison, etc…) mais on va nous dire que ce n’était pas équilibré.

Dans le bureau du dirlo // © Charles Kashema – UNSS

Notre entraînement

Même si c’était court, on a tous eu le droit de jouer dans leur salle où ils ont été deux fois champions de l’état. C’est une très belle salle avec des gradins amovibles. On a joué contre Kwe Parker et on a perdu. Franchement, je vous propose de tous aller voir ce joueur sur YouTube ou Dailymotion, il est juste incroyable….

Retour à Charlotte

Après quelques photos sympas, on retourne tous à Charlotte, direction le magasin des Charlotte Hornets. Notre professeur est encore plus fou que nous, il retrouve une deuxième jeunesse avec les maillots de Larry Johnson « Grand Mama ». On est encore trop jeunes pour cela, c’était au 20ième siècle.

Diner avec Boris

Si on ne pourra pas voir le match de mardi contre les Spurs, on a quand même diné chez Boris. En effet, Boris Diaw a un restaurant à Charlotte, le café Mortimer’s, on est tous allés manger le soir… en plein milieu de la Saint Patrick’s. On a regardé le match de Nicolas et il a été ENORME. Les Hornets ont battu les Heat et ils vont aller en phase finale, c’est sûr. On est tous supers contents pour lui et on attend demain son retour avec impatience.

Mais demain est un autre jour et on va changer encore de narrateur. J’oubliais, il fait 25°c, on est tous en tee-shirt et on commence à parler anglais de mieux en mieux. C’est notre prof d’anglais qui va être contente.

Jour 2 – D Day

Aujourd’hui, c’est le Jour-J. On va vivre une journée NBA, accompagnée d’une visite culturelle. L’UNSS c’est le sport, l’éducation et la culture, en résumé : « Partageons plus que du sport ».

Sur le terrain, avec Nicolas Batum // © Charles Kashema – UNSS

1. Sommeil et réveil

Avec le décalage horaire, le réveil fut rude (à 8 h). Petit déjeuner américain, on se prépare et nous allons à la salle d’entraînement des Hornets pour assister à l’entraînement des joueurs avant le match de ce soir. On en a discuté un peu avant d’aller se coucher, on va essayer de faire quelques paniers sur le terrain avec Nicolas… (on s’offre le droit de rêver).

2. 1er moment fou de la journée

C’est un énorme privilège de pouvoir assister à cet entraînement. Il n’y avait personne dans la salle et le silence régnait. A la fin de l’entraînement, Nicolas Batum a fait un énorme cadeau à son entraîneur qui adore le football : il lui a offert le maillot dédicacé d’Anthony Martial. Il était vraiment très ému par cette attention. Par contre, pour nos shoots sur le terrain, impossible… mais on est quand même allés sur le parquet pour les photos et j’ai réussi à toucher le filet (et oui, je suis fier).

3. Un petit arrêt chez Evan

Nous sommes allés à l’hôtel d’Evan Fournier, adversaire de Nicolas ce soir, et nous l’avons rencontré. On était tous ravis et nous avons quand même réussi à faire signer nos autographes. Franchement, il était « fâché » car il n’était pas bien coiffé pour les photos mais on était trop excités. Evan, il est double champion de France UNSS.

4. Culture et éducation

Trois minutes après, on se retrouve tous sur des segways : objectif visite de la ville. Comme Charlotte n’est pas très grande, on s’est fait une belle balade, en passant par des maisons victoriennes et la maison de Homeland jusqu’au stade des Rangers. Le segway est super sympa et vraiment marrant. Pour apprendre à en faire, il faut regarder une vidéo qui fait assez peur, qui dit notamment qu’en cas de chute, on risque de se faire des blessures graves. Malgré la peur et l’appréhension, nous sommes tous arrivé à faire la visite sans chute.

Tous en Segway ! // © Charles Kashema – UNSS

5. NBA nous voilà

Un petit passage à hôtel et de retour en ville direction l’arena des Hornets. Charlotte contre Orlando, le match est important pour remonter dans le classement et il n’est pas gagné d’avance. Trois heures avant le match, l’ambiance de la NBA est déjà au rendez-vous. Avant le match Patrick Ewing, entraîneur adjoint, de Charlotte, était à quelques mètres de nous. C’était magique de le voir d’aussi près. Nous sommes allés regarder le match dans une loge que nous a prêté l’agent de Nicolas Batum. La loge contient un bar et une vue parfaite pour regarder le match. La rencontre a mal débuté pour Charlotte : une légère avance maintenait le suspense. A la mi-temps, les deux équipes sont quasiment à égalité, puis peu après, l’écart se creuse pour Charlotte qui compte 25 point d’avance.

Assister au match : un rêve ! // © Charles Kashema – UNSS

La salle était en folie et les joueurs soulagés par cette avance considérable. Malgré tout, le stress commença à monter quand Orlando est revenu à 6 points de Charlotte. La victoire fut quand même au bout. A la fin du match, nous avons fait signer nos billets à Nicolas Batum et Cody Zeller. Ce moment était magique. La joie ne me quittait pas quand je sortais de la salle avec mon billet d’entrée dédicacé par des joueurs de NBA.

6. Retour à l’hôtel

Une heure après avoir mangé, nous sommes prêts pour nous coucher des images magiques en tête. J’avais promis d’écrire l’article donc, il est minuit et je suis en train de finir les dernières lignes. Je vais bien dormir car demain on va jouer au basket ball avec une ancienne star de la Pro A. Allez, je ne vais pas en dire plus car un autre narrateur vous racontera l’histoire dès demain.

Antonin Censier

Jour 1 – En route pour les USA à la rencontre de Nicolas Batum

1- Le levé

« Salut, moi c’est Johann. On s’est tous levés à six heures ce matin, on est un peu fatigués. On a dormi dans un hôtel première classe, on y a pris notre petit déjeuner (ce matin je n’avais pas faim, mais je me suis quand même forcé). Ensuite une navette nous a conduit à l’aéroport et nous avons décollé pour Munich. On est arrivés juste, 1h20 seulement avant le décollage (normalement c’est 2h minimum)… no stress. »

Le groupe au complet // © Charles Kashema – UNSS

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2 – Arrivée à Munich

« Après avoir quitté Paris sous une énorme chaleur, nous arrivons à Munich accueillis par la neige. Nous n’y sommes pas restés très longtemps, car un avion bien plus gros nous attendait là-bas en direction de Charlotte aux USA !!!!!! J’avoue qu’on a tous eu un peu peur car l’avion a bougé quand même… »

3 – Le voyage

« Nous voilà dans l’avion direction Charlotte. Enfin nous allons pouvoir rencontrer « le » Nicolas Batum. Mais tout d’abord dix heures et demie de voyage nous attendent. Nous mangeons donc à l’intérieur (j’avais choisi des pâtes mais les miennes étaient sèches …). En fait, j’ai pas tout compris ce que l’hôtesse m’a proposé. »

Un long voyage… // © Charles Kashema – UNSS

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4 – Nous sommes aux USA…

« On a loué des voitures énormes, on dort dans des chambres énormes et tout cela dans un hôtel de 15 étages. 5 minutes pour poser la valise et hop, on doit aller à l’accueil, car Nicolas Batum doit arriver. Mais en fait, on descend et il est déjà là. Tranquille, en short et en t-shirt blanc, simple comme on nous l’avait dit. Il nous pose des questions, on discute et même si on est morts, on est heureux d’être là juste pour ces moments. Je pourrais dire qu’il est resté près d’une heure avec nous alors qu’il ne devait rester que 10 minutes, mais l’essentiel est que demain, on va à l’entrainement avec lui. Nous aussi, on va aller s’entrainer avec les Charlotte Hornets ! Demain, RDV 9h à la salle…

Après cette épuisante journée, j’ai bien besoin de sommeil !!!! Nous dormons au Hyatt. Demain est un autre jour, et donc un nouveau narrateur. Ce sera un de mes compagnons qui vous écrira. J’espère que le reste du séjour sera agréable. »

Johann Bertrand

Licencié UNSS