7 preuves que les études supérieures, c’est un peu comme la maternelle

7 preuves que les études supérieures, c’est un peu comme la maternelle
Publié le 18/09/2018 par priscillabm ,
Il est loin le temps de la maternelle, n’est-ce pas ? Et pourtant, étrangement, les études supérieures y ressemblent énormément.

Ça y’est, tu as fait tes premiers pas en tant qu’étudiant, à l’université ou encore dans une école spécialisée. Tu l’es peut-être même déjà depuis quelques années. On peut le dire, tu es désormais ce qu’on peut appeler “un adulte”… ou pas ! Parce que ce qu’on avait oublié de te préciser, c’est que tu te sentirais aussi perdu au début que le jour où tu as fait tes premiers pas à la maternelle. D’ailleurs, entre la maternelle et les études supérieures, il y a pas mal de points communs, quand on y pense. Certes, il n’y a pas de bacs à sable et de comptines à apprendre, mais pour le reste, du goûter à la sieste, en passant par les activités manuelles pendant les cours, c’est du pareil au même. La preuve par 7.

1. Tu dois te faire de nouveaux amis

Si tu commences dans une nouvelle école ou université, tu ne connais peut-être personne dans ta classe voire même dans l’établissement entier. Il va donc falloir te faire de nouveaux amis, comme la première fois que tu es arrivé en maternelle. Mais là, c’est un peu plus compliqué qu’un simple “Hey, tu veux être mon ami ?” et ce ne sera pas pour jouer dans le bac à sable, mais pour sortir en soirées.

2. Tes parents te manquent beaucoup

La première fois que tes parents t’ont déposé à la maternelle, tu as probablement pleuré tous les jours pendant une semaine, pensant ne pas pouvoir survivre moins de cinq heures sans tes parents. Une expérience que tu as peut-être réitérée si tu as changé de ville pour tes études supérieures et que tu ne peux donc plus voir tes parents tous les jours. Certes, au départ, ça avait un petit goût de liberté, mais au bout de quelques jours, force est de constater que tes parents te manquent énormément, même si tu ne veux pas l’avouer.

3. Tu fais la sieste

Si, en maternelle, la sieste n’était pas vraiment ton truc et que tu faisais des crises à l’idée de dormir au lieu de jouer, lorsque tu es étudiant, c’est limite le moment que tu attends le plus dans la journée. Que ce soit lors d’un trou entre deux cours, ou même pendant un TD, tu ne te fais pas prier pour dormir quelques minutes quand le besoin se fait sentir, au risque de te prendre des remontrances par ton professeur.

4. Le goûter est très important

Quand tu étais à la maternelle, ou même à l’école primaire, tu attendais l’heure du goûter avec impatience et quand il arrivait, tu mangeais tes BN ou tes pains au lait fourrés de carreaux de chocolat avec une joie intense, des étoiles dans les yeux. Un truc qui ne change pas vraiment, que tu sois au lycée ou à l’université. C’est d’ailleurs limite si le contenu de ton goûter n’est pas le même.

5. Tu fais du coloriage et du DIY

En maternelle, tu passais le plus clair de ton temps à faire des activités manuelles ou encore du dessin et force est de constater que c’est pareil quand tu es étudiant. Par exemple, quand tu t’ennuies en cours, tu t’occupes en gribouillant tes cahiers, en dessinant ou encore en faisant des avions en papier. Et pour décorer ta chambre étudiante ou ton studio, tu tentes quelques DIY trouvés sur Pinterest.

6. Tu pleures et/ou crises beaucoup

La vie est tellement difficile en maternelle, entre le camarade qui te tire les cheveux ou te pique ta peluche, ou encore le pot de peinture qui se renverse sur toi, ou la fatigue tout simplement et te voilà en train de pleurer ou de criser. Mais la vie n’est pas plus facile à l’université. Les partiels peuvent être vraiment éprouvants et stressants, au point que tes nerfs peuvent très vite lâcher.

7. Pour draguer les filles, les mecs les taquinent

En maternelle, quand un garçon te tirait les cheveux, te poussait dans le bac à sable ou criait à qui veut l’entendre que tu avais des poux, c’était en réalité parce qu’il était secrètement amoureux de toi. Une technique de drague qui n’a visiblement pas changé, même à l’université. En effet, pour flirter, les mecs aiment bien taquiner les filles, car comme le dit l’adage : “qui aime bien, châtie bien” !