5 idées pour ne pas vous retrouver seul(e) le soir de Noël

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Publié le 16/12/2016 par TRD_import_NathalieTissot ,
Bloqué(e) à l’étranger, vous ne pourrez pas cette année passer le traditionnel repas de Noël en famille. L’idée d’un réveillon loin de vos proches vous angoisse ? Voici cinq conseils pour faire la fête autrement et garder la pêche jusqu’à l’année prochaine.

Idée n°1 : organiser un réveillon avec d’autres expatriés

Se réunir entre expatriés peut être une bonne idée pour ne pas avoir le mal du pays. Chacun peut apporter une partie du repas, ainsi que, pour pimenter la soirée, un cadeau à offrir à l’un des convives tirés au sort. Une idée envisagée par Léa, 22 ans, en stage à Buenos Aires, qui a choisi de passer Noël avec ses colocataires. « Sur 12 colocs, six rejoindront leur famille en Amérique latine pour les fêtes, mais ceux qui restent (Boliviens, Péruviens, Vénézuéliens…) se réunissent pour faire un grand repas dans l’appartement, avec peut-être des spécialités vénézuéliennes ».

Grégoire, 21 ans, étudiant en troisième année à Sciences po Aix-en-Provence, a décidé de réunir d’autres expatriés pour dormir dans son appartement à Exeter, vidé de ses colocataires britanniques. « Pour cette année spéciale, autant faire un Noël différent. Début de soirée au restaurant le soir du 24… le pudding va sûrement remplacer la bûche au dessert ! Et on finit dans mon appart.’ »

Yoan, 23 ans, coincé par une date de partiel en janvier, n’a pas pu retourner en Nouvelle-Calédonie chez sa famille pour les fêtes. Étudiant en double cursus ingénieur-manager à Audencia Nantes, il a prévu d’organiser un réveillon avec son meilleur ami, originaire également de Nouméa, à Avignon. « Nous serons plusieurs, nous irons au restaurant pour un menu classique (huîtres, foie gras…), ça nous évitera les pâtes de la cuisine étudiante ! »

Idée n°2 : se greffer à un dîner de famille

N’hésitez pas à dire aux personnes que vous fréquentez que vous serez seul pour les fêtes. Un collègue, un voisin ou un ami vous invitera sûrement à son repas de famille. Un moment convivial qui vous laissera de bons souvenirs.

Idée n°3 : sortir ou partir en voyage

Optez pour une pièce de théâtre ou un concert à tarif réduit les soirs de réveillon. Des animations de quartier sont aussi souvent proposées. Une occasion de rencontrer du monde et de continuer la soirée à plusieurs.

Myriam, 19 ans, va profiter de son séjour d’échange universitaire dans le Missouri pour partir en voyage sur la côte Ouest des États-Unis. « Los Angeles, San Diego, San Francisco, Las Vegas, le Grand Canyon… Je vais voyager avec mes amis jusqu’à mi-janvier », prévoit l’étudiante en 3e année LLCER anglais à l’université Picardie.

C’est le deuxième Noël qu’Etienne, 24 ans, étudiant à Centrale Marseille, passe à Rio de Janeiro, loin de sa famille. « Les vols sont hors de prix. L’année dernière, j’ai profité de cette période de vacances pour voyager avec des amis, et je renouvelle l’expérience en 2016. Je vais faire de la plongée avec un ami français venu me rendre visite, à Arraial do Cobo notamment ». Pour lui, « au Brésil les températures très élevées (35-40 C°) et les paysages, ne nous donnent pas la nostalgie d’un Noël français ».

Idée n°4 : s’investir dans une action caritative

Des associations organisent chaque année des repas de Noël pour les plus démunis. Une opportunité d’offrir un peu de votre temps et de partager les fêtes avec d’autres bénévoles. *Grégoire a prévu, *en plus d’un moment convivial avec ses amis , de se rendre utile pour Noël. « En France, je participe déjà à des tournées pour les sans-abris , j’aimerais le faire aussi ici », affirme-t-il.

Idée n° 5 : garder le contact avec ses proches

Dans la soirée ou au petit matin, passez un coup de fil à vos proches via des logiciels du type Skype qui permettent d’appeler gratuitement par Internet à l’étranger et de faire la fête ensemble par webcams interposées. » Le soir du 24 décembre, j’appellerai ma famille sur Skype bien sûr , même si j’ai du mal à réaliser que Noël arrive, puisque je ne serai pas avec eux », admet Myriam, en séjour d’études aux États-Unis.