5 (grosses) boulettes d’étudiants à ne pas copier

No thumbnail
Publié le 26/05/2015 par TRD_import_LauraKermezian ,
Certes, avec le stress des examens qui peuvent donner l'impression qu'on joue sa future vie professionnelle, on n'est pas toujours dans son etat normal. Mais ce n'est pas une raison pour commettre d'aussi grosses betises… Exemples a ne surtout pas suivre !

Boulette #1 : changer ses notes en pensant que personne n’y verra rien

En Angleterre, on ne rit pas avec le piratage informatique. Iman Uddin, un étudiant en biosciences a écopé de quatre mois de prison avec sursis en avril 2015 pour avoir tenté d’augmenter ses notes en piratant le système informatique de l’université de Birmingham. En transformant par exemple un 57/100 en 73/100, il avait bien pris quelques précautions pour se faire discret. C’était sans compter sur la mise à jour informatique, qui a tout révélé…

Boulette #2 : pousser la générosité jusqu’à partager des sujets d’examens

Voici une générosité qui a coûté cher à un étudiant de l’École supérieure de commerce d’Amiens. En effet, après avoir piraté « avec une facilité déconcertante », selon lui, le système informatique de son école, cet étudiant n’a pas hésité à aller zieuter en avance les sujets d’examen et à les partager avec des amis proches. La seconde fois, il a voulu en faire profiter un cercle si large qu’une vingtaine d’élèves puis la direction de l’école ont eu connaissance de la supercherie…

Boulette #3 : passer de médiocre à major de promo sans penser éveiller les soupçons

En 2010, c’est au tour de l’université de Rennes 2 de faire l’objet d’un piratage informatique. En effet, une étudiante en master de psychologie n’avait pas hésité à hacker le système pour valider son année universitaire. Si certains se contentent de modifier quelques notes, cette étudiante est passée d’élève « médiocre » selon la faculté à major de sa promotion. Elle a été exclue de toute université pendant cinq ans.

Boulette #4 : se servir d’une oreillette pendant un examen

Entre 2011 et 2014, un étudiant de la faculté de droit, à Pessac, a triché à plusieurs reprises. Et (une sombre histoire de trafic de stupéfiants aidant), il a fini par écoper de trois mois de prison ferme en octobre 2014. Il n’avait pas hésité à se munir d’une oreillette lors de ses examens afin que ses amis à l’extérieur lui soufflent les réponses. Une technique qui « n’a pas servi à grand-chose » selon son avocat, puisque l’étudiant avait au final échoué.

Boulette #5 : décompresser n’importe comment…

En novembre 2014, le musée des Beaux-Arts d’Angers est perturbé par un visiteur dont il se serait bien passé. Lors de l’ouverture annuelle nocturne dédiée aux étudiants, le musée ne s’attendait pas à ce qu’un étudiant ivre en pousse les portes. Et pourtant, celui-ci titube dans les allées et va jusqu’à uriner sur une toile de Theodore van Thulden, datant du XVIIIe siècle et estimée à près de 50.000 €. Heureusement, seulement quelques gouttes ont atterri sur la toile.