5 découvertes incroyables quand on arrête de fumer

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Publié le 30/05/2016 par TRD_import_LaurenMezière ,
Oui, arrêter de fumer, c’est aller à la découverte d’une contrée sauvage : une part inexplorée – ou oubliée – de vous-même. On vous en dresse une carte qui va vous donner envie, vous verrez.

Il y a encore un mois (une semaine, un jour…), vos petits poumons luttaient pour une bouffée d’air qui ne soit pas chargée de nicotine, de goudron, de DDT, d’arsenic – oui, il y a tout ça dans une simple cigarette ! Mais ça, c’était avant. Bien décidé à nettoyer pour de bon votre organisme, vous avez banni ce lent poison de votre existence. Félicitations ! L’heure est venue pour vous de commencer une vie de non-fumeur, avec ses grands plaisirs et ses petites mesquineries. Top 5 des vérités qui vous frappent de plein fouet quand vous arrêtez de fumer.

1. Avant vous sentiez mauvais (et pas qu’un peu)

Autant vous l’avouer à présent que vous avez sauté le pas : l’odeur de cendrier froid sur les vêtements, sur les cheveux et dans la bouche, on a déjà fait plus attirant. Mais comme la cigarette est une petite maligne, elle s’est fait fort d’anesthésier votre odorat pour que vous ne vous en rendiez pas compte. Maintenant que ce dernier s’est réveillé, vous repérez vos potes fumeurs à un kilomètre et vous avez enfin l’explication de la grimace à peine dissimulée de votre chéri(e) après chacun de vos baisers. Aujourd’hui, vous avez redécouvert le parfum suave de l’adoucissant, du parfum, de la crème. Si vous pouviez, vous vous rouleriez dans vous-même.

2. Vous regardez les fumeurs de haut

On vous comprend, en fait. La fierté et l’orgueil font partie intégrante du processus de désintoxication. Considérer avec mépris le malheureux qui n’a pas encore eu votre courage vous offre une arme supplémentaire contre la tentation. Depuis que vous êtes non-fumeur, vous vous sentez un peu comme dans la peau de George W. Bush menant une campagne contre l’alcoolisme : en pleine possession de votre mauvaise foi.

3. Enfin, vous vous exprimez !

Depuis que vous avez arrêté la clope, vous avez également arrêté la diplomatie. Quelque chose vous court sur le haricot, vous le dites, cash. Et pas forcément dans les formes. Finalement, la privation de nicotine a eu un effet libérateur sur vous, et ceux qui avaient tendance à abuser dans votre entourage sont en train de découvrir que vous n’êtes peut-être pas aussi conciliant qu’il y paraît. Laissez-vous aller : les vrais potes comprendront et attendront que ça passe.

4. Votre porte-monnaie se libère sur une foule de trucs dingues (et inutiles)

Libéré, délivré, votre portefeuille respire aussi un bon coup. Au prix du paquet, votre relation avec le tabac était plutôt du genre ruineux, et depuis que vous ne lâchez plus 7 € par jour à votre buraliste, vous avez un peu le sentiment d’être devenu le roi du pétrole. Sauf que, avec le besoin compulsif de vous « récompenser » de tous vos efforts, vos économies commencent à se sentir un tout petit peu observées.

5. Vous réalisez que tousser dès le matin, c’est pas obligatoire

Ah, la « gueule de bois » du fumeur ! Ce petit bonheur matinal du clopeur pas encore repenti, qui vous donne le sentiment que vous avez dormi avec un fennec dans la gorge… Un fennec plutôt en mauvais état d’ailleurs, à entendre la toux rauque qui s’échappe de votre poitrine alors que vous essayez de reprendre votre souffle.

Ce n’est qu’au moment où on arrête de fumer qu’on mesure l’étendue des dégâts provoqués par la cigarette : une semaine sans en griller une, et vous revoilà en pleine forme !